La mer qu'on voit danser
Le long des golfes clairs
A des reflets d'argent
La mer des reflets changeants
Sous la pluie
La mer au ciel d'été
Confond ses blancs moutons
Avec les anges si purs
La mer bergère d'azur
Infinie
Voyez près des étangs
Ces grands roseaux mouillés
Voyez ces oiseaux blancs
Et ces maisons rouillées
La mer les a bercés
Le long des golfes clairs
Et d'une chanson d'amour
La mer a bercé mon coeur
Pour la vie
J'aime beaucoup, le poème, inspiré par la photo...beaucoup d'humilité ressort de tout cela
RépondreSupprimerBravo. fleur 1967
Quel beau Haïku : son écriture nous transporte dans l'image.
RépondreSupprimerIl s' en dégage une forme d'humilité et d'apaisement.
J'aime beaucoup la photo en noir et blanc et sa perspective...
Bravo !
Fleur1967